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prendre soin de l’humain

Une alimentation plus éthique, plus de diversité et de qualité.

comment ? 

comment ? 

Dis-moi comment…

COMMENT MANGER ÉQUILIBRÉ ?

COMMENT NOURRIR 9 MILLIARDS D’HUMAINS ?

COMMENT RECONNECTER L’HOMME ET L’ÉLEVAGE ?

COMMENT LIMITER L’UTILISATION DES ANTIBIOTIQUES ?

COMMENT FONCTIONNE UN VACCIN ?

COMMENT STIMULER NATURELLEMENT NOTRE IMMUNITÉ ?

comment DÉVELOPPER UNE IMMUNITÉ COLLECTIVE ?

COMMENT SONT PRODUITS LES VACCINS ?

Dans le monde, 650 millions de personnes sont obèses tandis que parallèlement 750 millions souffrent de sous-nutrition. Manger équilibré, c’est faire quotidiennement 3 repas variés, intégrant une juste proportion de protéines, glucides, lipides, vitamines, minéraux et fibres. Il faut user de tout mais n’abuser de rien.
Pour un régime équilibré, les nutritionnistes recommandent 45 g de protéines animales par jour, soit par exemple l’équivalent de 150 g de viande ou 4 oeufs.
Rééquilibrer les repas quotidiens et prévenir la malnutrition sont les enjeux majeurs auxquels l’agriculture du 21ème siècle doit répondre.

A l’horizon 2050, la Terre accueillera 9,8 milliards d’êtres humains dont les besoins alimentaires nécessiteront de produire 40% de protéines supplémentaires.
Nos modes de productions actuels ne pourront pas répondre seuls et sans évoluer à cette augmentation de volumes tout en garantissant la durabilité nécessaire à
notre Planète. Pour répondre à ce défi, il existe plusieurs solutions complémentaires :
– Élevages conventionnels et alternatifs : améliorer la durabilité, l’éthique et la performance.
– Protéines végétales : développer leur part dans notre alimentation, avec notamment plus de légumineuses.
– Protéines innovantes : imaginer de nouvelles sources de protéines vertueuses, telles que la protéine d’insectes et la viande cultivée.
Le Groupe Grimaud s’investit durablement au service des filières animales historiques tout en soutenant l’innovation dédiée aux protéines animales complémentaires.

« Tertiarisation » des métiers, inquiétudes environnementales, de santé, préoccupation pour le bien-être animal : l’élevage et la population qui s’en nourrit, n’ont jamais été aussi éloignés. Pourtant, les humains pratiquent l’élevage depuis plus de 10 000 ans, et la protéine animale a été l’une des clés à l’origine de notre développement social et intellectuel. Au coeur de notre alimentation, nous devons favoriser la reconnexion de l’élevage avec notre société. Plusieurs pistes de travail :
– Réduire l’impact environnemental des productions animales,
– Favoriser les médecines douces,
– N’utiliser les antibiotiques qu’en dernier recours,
– Agir pour une amélioration continue du Bien-Être Animal,
– Redonner aux métiers de l’élevage leurs lettres de noblesse et leur proximité au consommateur final.

L’antibiorésistance est due à l’utilisation trop systématique et massive des antibiotiques, notamment en élevage. Elle a un impact sur la santé humaine, la santé animale et celle des écosystèmes qui sont interconnectées. Depuis des années, nous agissons pour limiter l’utilisation des antibiotiques.
Nos solutions passent par la sélection d’animaux plus robustes et par la prophylaxie – ensemble des mesures de prévention des maladies :
– Dans l’environnement : par l’application de bonnes pratiques de biosécurité, le respect des règles d’hygiène, et la gestion de l’écologie bactérienne dirigée,
– Chez l’animal, en stimulant l’immunité par ingestion de flores bactériennes « construites » (compétition microbienne naturelle), et par vaccination contre les agents pathogènes majeurs,
– En n’utilisant les antibiotiques qu’en cas de pathologie avérée et non en préventif.

Les vaccins dits « classiques » sont produits à partir de virus inactivés.* L’inactivation consiste à rendre le virus inoffensif, soit en le tuant, soit en annulant sa virulence par des reproductions successives tout en gardant sa structure caractéristique. Mélangé ensuite en conditions stériles avec un adjuvant adapté, puis injecté, il stimule les défenses immunitaires de l’organisme. Les globules blancs reconnaissent alors la structure du virus inactivé (l’antigène) et produisent les anticorps de défense adaptés. Ainsi, en cas de contact avec le virus pathogène, le corps est armé pour se protéger contre l’infection.
* Les vaccins à « ARN messagers » fonctionnent différemment en « éduquant » notre système immunitaire à produire des anticorps pour détruire une protéine ciblée (la clé d’entrée du virus).

Comme tout environnement, notre organisme est en permanence au contact de germes indésirables potentiellement pathogènes. Une alimentation saine et équilibrée (voir page 9), une bonne hydratation ainsi
que les pré et probiotiques (ex : yaourts, qui protègent notre flore intestinale) contribuent à faire barrière à l’implantation de ces microbes pathogènes.
Complémentairement, la vaccination stimule nos défenses naturelles et spécifiques (en particulier par la production d’anticorps) contre certains agents pathogènes majeurs.

L’immunité collective correspondant au pourcentage d’une population protégée à partir duquel un sujet infecté va transmettre le pathogène à moins d’une personne en moyenne. La maladie ou l’épidémie concernée est alors contrôlée, voire amenée à disparaitre, car le pathogène qui rencontre trop de sujets protégés ne prospère plus. Cette immunité de groupe, ou collective, peut être obtenue par l’infection naturelle ou par la vaccination massive d’une population. Le pourcentage de la population protégée nécessaire pour atteindre l’immunité collective varie d’une infection à une autre en fonction de son taux de réplication naturelle ou de l’apparition de variants.
Il faut bien sûr que l’immunité acquise reste efficace au cours du temps, d’où les nécessaires rappels de vaccins quand leur efficacité diminue. Il existe de nombreux exemples de maladies éradiquées et/ou contrôlées grâce à la vaccination : poliomyélite, tétanos, coqueluche, rougeole, hépatites…

Nos filiales et partenaires biopharmacie élaborent des vaccins humains et vétérinaires, sur la technologie classique, dite de « vaccins inactivés ». Ce type de vaccin est produit en 4 phases successives sous conditions BPF (Bonnes Pratiques de Fabrication) :
1/ Multiplication de l’agent pathogène ciblé sur oeufs ou lignées cellulaires,
2/ Inactivation du pathogène si l’agent n’a pas été atténué,
3/ Ajout éventuel d’un adjuvant stimulant de l’immunité,
4/ Mise en flacon stérile.

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COMMENT MANGER ÉQUILIBRÉ ?

Dans le monde, 650 millions de personnes sont obèses tandis que parallèlement 750 millions souffrent de sous-nutrition. Manger équilibré, c’est faire quotidiennement 3 repas variés, intégrant une juste proportion de protéines, glucides, lipides, vitamines, minéraux et fibres. Il faut user de tout mais n’abuser de rien.
Pour un régime équilibré, les nutritionnistes recommandent 45 g de protéines animales par jour, soit par exemple l’équivalent de 150 g de viande ou 4 oeufs.
Rééquilibrer les repas quotidiens et prévenir la malnutrition sont les enjeux majeurs auxquels l’agriculture du 21ème siècle doit répondre.

COMMENT NOURRIR 9 MILLIARDS D’HUMAINS ?

A l’horizon 2050, la Terre accueillera 9,8 milliards d’êtres humains dont les besoins alimentaires nécessiteront de produire 40% de protéines supplémentaires.
Nos modes de productions actuels ne pourront pas répondre seuls et sans évoluer à cette augmentation de volumes tout en garantissant la durabilité nécessaire à notre Planète. Pour répondre à ce défi, il existe plusieurs solutions complémentaires :
– Élevages conventionnels et alternatifs : améliorer la durabilité, l’éthique et la performance.
– Protéines végétales : développer leur part dans notre alimentation, avec notamment plus de légumineuses.
– Protéines innovantes : imaginer de nouvelles sources deprotéines vertueuses, telles que la protéine d’insectes et la viande cultivée.
Le Groupe Grimaud s’investit durablement au service des filières animales historiques tout en soutenant l’innovation dédiée aux protéines animales complémentaires.

COMMENT RECONNECTER L’HOMME ET L’ÉLEVAGE ?

« Tertiarisation » des métiers, inquiétudes environnementales, de santé, préoccupation pour le bien-être animal : l’élevage et la population qui s’en nourrit, n’ont jamais été aussi éloignés. Pourtant, les humains pratiquent l’élevage depuis plus de 10 000 ans, et la protéine animale a été l’une des clés à l’origine de notre développement social et intellectuel. Au coeur de notre alimentation, nous devons favoriser la reconnexion de l’élevage avec notre société. Plusieurs pistes de travail :
– Réduire l’impact environnemental des productions animales,
– Favoriser les médecines douces,
– N’utiliser les antibiotiques qu’en dernier recours,
– Agir pour une amélioration continue du Bien-Être Animal,
– Redonner aux métiers de l’élevage leurs lettres de noblesse et leur proximité au consommateur final.

COMMENT LIMITER L’UTILISATION DES ANTIBIOTIQUES ?

L’antibiorésistance est due à l’utilisation trop systématique et massive des antibiotiques, notamment en élevage. Elle a un impact sur la santé humaine, la santé animale et celle des écosystèmes qui sont interconnectées. Depuis des années, nous agissons pour limiter l’utilisation des antibiotiques.
Nos solutions passent par la sélection d’animaux plus robustes et par la prophylaxie – ensemble des mesures de prévention des maladies :
– Dans l’environnement : par l’application de bonnes pratiques de biosécurité, le respect des règles d’hygiène, et la gestion de l’écologie bactérienne dirigée,
– Chez l’animal, en stimulant l’immunité par ingestion de flores bactériennes « construites » (compétition microbienne naturelle), et par vaccination contre les agents pathogènes majeurs,
– En n’utilisant les antibiotiques qu’en cas de pathologie avérée et non en préventif.

COMMENT FONCTIONNE UN VACCIN ?

Les vaccins dits « classiques » sont produits à partir de virus inactivés.* L’inactivation consiste à rendre le virus inoffensif, soit en le tuant, soit en annulant sa virulence par des reproductions successives tout en gardant sa structure caractéristique. Mélangé ensuite en conditions stériles avec un adjuvant adapté, puis injecté, il stimule les défenses immunitaires de l’organisme. Les globules blancs reconnaissent alors la structure du virus inactivé (l’antigène) et produisent les anticorps de défense adaptés. Ainsi, en cas de contact avec le virus pathogène, le corps est armé pour se protéger contre l’infection.
* Les vaccins à « ARN messagers » fonctionnent différemment en « éduquant » notre système immunitaire à produire des anticorps pour détruire une protéine ciblée (la clé d’entrée du virus).

COMMENT STIMULER NATURELLEMENT NOTRE IMMUNITÉ ?

Comme tout environnement, notre organisme est en permanence au contact de germes indésirables potentiellement pathogènes. Une alimentation saine et équilibrée (voir page 9), une bonne hydratation ainsi que les pré et probiotiques (ex : yaourts, qui protègent notre flore intestinale) contribuent à faire barrière à l’implantation de ces microbes pathogènes.
Complémentairement, la vaccination stimule nos défenses naturelles et spécifiques (en particulier par la production d’anticorps) contre certains agents pathogènes majeurs.

COMMENT DÉVELOPPER UNE IMMUNITÉ COLLECTIVE ?

L’immunité collective correspondant au pourcentage d’une population protégée à partir duquel un sujet infecté va transmettre le pathogène à moins d’une personne en moyenne. La maladie ou l’épidémie concernée est alors contrôlée, voire amenée à disparaitre, car le pathogène qui rencontre trop de sujets protégés ne prospère plus. Cette immunité de groupe, ou collective, peut être obtenue par l’infection naturelle ou par la vaccination massive d’une population. Le pourcentage de la population protégée nécessaire pour atteindre l’immunité collective varie d’une infection à une autre en fonction de son taux de réplication naturelle ou de l’apparition de variants.
Il faut bien sûr que l’immunité acquise reste efficace au cours du temps, d’où les nécessaires rappels de vaccins quand leur efficacité diminue. Il existe de nombreux exemples de maladies éradiquées et/ou contrôlées grâce à la vaccination : poliomyélite, tétanos, coqueluche, rougeole, hépatites…

COMMENT SONT PRODUITS LES VACCINS ?

Nos filiales et partenaires biopharmacie élaborent des vaccins humains et vétérinaires, sur la technologie classique, dite de « vaccins inactivés ». Ce type de vaccin est produit en 4 phases successives sous conditions BPF (Bonnes Pratiques de Fabrication) :
1/ Multiplication de l’agent pathogène ciblé sur oeufs ou lignées cellulaires,
2/ Inactivation du pathogène si l’agent n’a pas été atténué,
3/ Ajout éventuel d’un adjuvant stimulant de l’immunité,
4/ Mise en flacon stérile.

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